San Rocco

San Rocco: Read on it.wikipedia.org/wiki/San_Rocco

This Saint appears to be following me around in my reading, first as the patron Saint of Clochemerle, whose effigy is smashed during the fight in the church, now as the patron of La Scuola grande di San Rocco, in Melania Mazzucco’s “La lunga attesa dell’angelo”.

Aufenthalt (Schwanengesang: Schubert/Rellstab)

Rauschender Strom, brausender Wald, 
Starrender Fels mein Aufenthalt.
Wie sich die Welle an Welle reiht, 
Fliessen die Tränen mir ewig erneut.

Hoch in den Kronen wogend sich’s regt, 
So unaufhörlich mein Herze schlägt. 
Und wie des Felsen uraltes Erz
Ewig derselbe bleibet mein Schmerz.

Surging river, roaring forest, 
immovable rock, my resting place. 
As wave follows wave,
so my tears flow, ever renewed.

As the high treetops stir and heave, 
so my heart beats incessantly.
Like the rock’s age-old ore
my sorrow remains forever the same.

Aufenthalt

Rauschender Strom, brausender Wald, 
Starrender Fels mein Aufenthalt.
Wie sich die Welle an Welle reiht, 
Fliessen die Tränen mir ewig erneut.

Hoch in den Kronen wogend sich’s regt, 
So unaufhörlich mein Herze schlägt. 
Und wie des Felsen uraltes Erz
Ewig derselbe bleibet mein Schmerz.

Chiesa della Madonna dell’Orto

Chiesa della Madonna dell’Orto – Wikipedia
— Read on it.wikipedia.org/wiki/Chiesa_della_Madonna_dell’Orto

“Tutte le mattine vado alla Madonna dell’Orto. Quella chiesa è il mio asilo. E il mio museo: in ogni angolo, cappella, parete, ho lasciato una pagina della mia vita. Ci ho scritto la mia storia, come in un libro.” (Mazzucco)

“Dalle alte finestre il sole tracciava sul pavimento una riga netta – di qua la luce, di là l’ombra. Se fosse cosí lineare anche la nostra anima, Signore. Se potessi separare il bene e il male, quello che ho fatto e quello che ho ricevuto. Ma non è cosí, c’è solo un grande vortice nel quale tutto si confonde. E io non so piú cosa è stato giusto, e cosa profondamente, totalmente sbagliato.” (Ibid.)

Herbitzheim – Tradition religieuse. Garde suisse depuis 45 ans

Personnage familier aux paroissiens, Lucien Hoffmann ne manque pas d’étonner le pèlerin qui pénètre dans l’église catholique de Herbitzheim. Depuis 45 ans, il perpétue la tradition du garde suisse, une fonction qu’il exerce avec passion et conviction. Si la garde suisse pontificale, la plus petite et plus ancienne armée du monde, a été créée le 22 janvier 1506 sur ordre du pape Jules II, l’origine des suisses d’église remonte aux ordonnances royales d’avril et décembre 1771.« Je suis en quelque sorte le shérif », s’amuse Lucien Hoffmann, montrant l’insigne avec l’inscription « police du culte ». À Herbitzheim, le garde suisse joue les maîtres de cérémonie. Portant la redingote bleue riche de parements et d’épaulettes dorées les dimanches ordinaires, il garde l’uniforme rouge pour les célébrations importantes.Coiffé d’un bicorne, canne à pommeau et hallebarde à la main, il veille au bon déroulement des offices, accompagne les servants d’autel lors des quêtes et précède le clergé dans les processions. Frappant le sol avec sa canne à pommeau à l’effigie de la Vierge Marie, patronne de la paroisse, il invite les fidèles à se lever de leur banc lors des cérémonies.Lucien Hoffmann a succédé à Lucien Rondio qui a exercé la fonction de garde suisse durant 20 ans. « Comme j’étais président du cercle des jeunes catholiques, le curé Musser m’a proposé ce poste. Jusqu’à l’âge de 40 ans, j’étais dans le dixième banc à l’église. J’ai accepté car j’allais être plus à l’avant, donc plus près de l’autel ».Il y a quelques décennies, lorsque la pratique religieuse était intense, le suisse faisait régner la discipline à l’église. Il faisait sortir des rangs les enfants deux par deux, frappait le sol de son pommeau pour les inviter à faire la génuflexion. « Les enfants étaient nombreux, les filles d’un côté, les garçons de l’autre. Un banc était attribué à chaque classe d’âge. Les plus petits étaient assis devant. Ce n’est qu’après la profession de foi que nous pouvions rejoindre les bancs des adultes », se souvient Béatrice Herrmann, qui a bien connu l’ancien suisse, Lucien Rondio. « C’était le frère de mon grand-père ».Bernard Herrmann, l’époux de Béatrice, se souvient que le suisse inspirait crainte et respect. « Lorsque les enfants chahutaient, il les punissait en les faisant sortir du banc et s’agenouiller devant l’autel de saint Joseph. C’était la honte pour les parents, les enfants avaient peur de rentrer à la maison ».
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