Ennio Morricone
Symphony No. 10 (Mahler)
Symphony No. 10 (Mahler)
— Read on en.wikipedia.org/wiki/Symphony_No._10_(Mahler)
The sailor & young Nancy
Musical Key Characteristics
Musical Key Characteristics
— Read on www.wmich.edu/mus-theo/courses/keys.html
Essentially, this is a synopsis of a section towards the end of Schubart’s „Ideen zu einer Ästhetik der Tonkunst”.
John Field, father of the nocturne, according at least to posthumous convention
Alessandro Longo
en.wikipedia.org/wiki/Alessandro_Longo
I’ve just discovered his bassoon suite. I’m really enjoying bassoon music at the moment. LJ
A wonderful teacher and a wise man, Benjamin Zander. This is about the confluence of life and art.
Opus 131
Richard Strauss Op.27 No.4 Morgen
Textdichter: John Henry Mackay (1864-1933)
Sprache: Deutsch
Und morgen wird die Sonne wieder scheinen,
Und auf dem Wege, den ich gehen werde,
Wird uns, die Glücklichen, sie wieder einen
Inmitten dieser sonnenatmenden Erde.
Und zu dem Strand, dem weiten, wogenblauen,
Werden wir still und langsam niedersteigen,
Stumm werden wir uns in die Augen schauen,
Und auf uns sinkt des Glückes stummes Schweigen.
Musical Key Characteristics
Musical Key Characteristics
— Read on www.wmich.edu/mus-theo/courses/keys.html
Well temperament – Wikipedia
Well temperament – Wikipedia
— Read on en.m.wikipedia.org/wiki/Well_temperament
Just intonation – Wikipedia
Just intonation – Wikipedia
— Read on en.m.wikipedia.org/wiki/Just_intonation
Equal temperament – Wikipedia
Equal temperament – Wikipedia
— Read on en.m.wikipedia.org/wiki/Equal_temperament
Musical Key Characteristics
Musical Key Characteristics
— Read on www.wmich.edu/mus-theo/courses/keys.html
On the diminishment entailed by the dominion of equal temperament, in a sense…LJ
Locus iste, a setting by Anton Bruckner
Bernstein on musical form
Le cocu
BWV 299 – Dir, dir Jehova, will ich singen – All of Bach
This is a wonderful site. What a gift to mankind, on behalf of mankind! LJ
BWV 299 – Dir, dir Jehova, will ich singen – All of Bach
— Read on allofbach.com/en/bwv/bwv-299/
Making a little progress, but…
Le grand café (Charles Trenet & Georges Brassens)
Le Grand Café
Au Grand Café vous êtes entré par hasard
Tout ébloui par les lumières du boul’vard
Bien installé devant la grande table
Vous avez bu, quelle soif indomptable
De beaux visages fardés vous disaient bonsoir
Et la caissière se levait pour mieux vous voir
Vous étiez beau vous étiez bien coiffé
Vous avez fait beaucoup d’effet
Beaucoup d’effet au Grand Café.
Comme on croyait que vous étiez voyageur
Vous avez dit des histoires d’un ton blagueur
Bien installé devant la grande table
On écoutait cet homme intarissable
Tous les garçons jonglaient avec Paris-Soir
Et la caissière pleurait au fond d’son tiroir
Elle vous aimait, elle les aurait griffés
Tous ces gueulards, ces assoiffés
Ces assoiffés du Grand Café.
Par terre on avait mis de la sciure de bois
Pour que les cracheurs crachassent comme il se doit
Bien installé devant la grande table
Vous invitiez des Ducs, des Connétables
Quand on vous présenta, soudain, l’addition
Vous avez déclaré : Moi, j’ai pas un rond.
Cette phrase-là produit un gros effet
On confisqua tous vos effets
Vous étiez fait au Grand Café.
Depuis ce jour, depuis bientôt soixante ans
C’est vous l’chasseur, l’commis de restaurant
Vous essuyez toujours la grande table
C’est pour payer cette soirée lamentable
Ah, vous eussiez mieux fait de rester ailleurs
Que d’entrer dans ce café plein d’manilleurs
Vous étiez beau, le temps vous a défait
Les mites commencent à vous bouffer
Au Grand Café, au Grand Café.
Dixieland in St.Martin
Je me suis fait tout petit
Le Cocu
Une belle chanson de Georges Brassens, pleine d’esprit et riche en allusions littéraires, comme d’habitude d’ailleurs
Comme elle n’aime pas beaucoup la solitude
Cependant que je pêche et que je m’ennoblis
Ma femme sacrifie à sa vieille habitude
De faire, à tout venant, les honneurs de mon lit
Eh ! oui, je suis cocu, j’ai du cerf sur la tête
On fait force de trous dans ma lune de miel
Ma bien-aimée ne m’invite plus à la fête
Quand ell’ va faire un tour jusqu’au septième ciel
Au péril de mon cœur, la malheureuse écorne
Le pacte conjugal et me le déprécie
Que je ne sache plus où donner de la corne
Semble bien être le cadet de ses soucis
Les galants de tout poil viennent boire en mon verre
Je suis la providence des écornifleurs
On cueille dans mon dos la tendre primevère
Qui tenait le dessus de mon panier de fleurs
En revenant fourbu de la pêche à la ligne
Je les surprends tout nus dans leurs débordements
Conseillez-leur le port de la feuille de vigne
Ils s’y refuseront avec entêtement
Souiller mon lit nuptial, est-c’ que ça les empêche
De garder les dehors de la civilité ?
Qu’on me demande au moins si j’ai fait bonne pêche
Qu’on daigne s’enquérir enfin de ma santé
De grâce, un minimum d’attentions délicates
Pour ce pauvre mari qu’on couvre de safran
Le cocu, d’ordinaire, on le choie, on le gâte
On est en fin de compte un peu de ses parents
A l’heure du repas, mes rivaux détestables
Ont encor ce toupet de lorgner ma portion
Ça leur ferait pas peur de s’asseoir à ma table
Cocu, tant qu’on voudra, mais pas Amphitryon
Partager sa moitié, est-c’ que cela comporte
Que l’on partage aussi la chère et la boisson ?
Je suis presque obligé de les mettre à la porte
Et bien content s’ils n’emportent pas mes poissons
Bien content qu’en partant ces mufles ne s’égarent
Pas à mettre le comble à leur ignominie
En sifflotant ” Il est cocu, le chef de gare… ”
Parc’ que, le chef de gar’, c’est mon meilleur ami
Le Grand Orchestre du Splendid: La Salsa du Démon
(Horreur)
(Malheur)
(Aaaah)
Oui, je suis Belzébuth
(Horreur)
Je suis un bouc, je suis en rut
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, je vis dans l’ordure
(Horreur)
Je pue la sueur et la luxure
Je fume je bois, j’ai tous les vices
Et j’ai du poil partout sur les cuisses
Je vous déteste, je vous maudis
J’suis complèt’ment pourri
Quand j’vois un gosse, j’lui fous une claque
Quand j’vois une vieille j’lui piqu’ son sac
Je crache, je rote, rien ne m’arrête
Car aujourd’hui c’est la fête…
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
(Horreur, malheur)
(Aaaah)
Oui, c’est moi Vampirella
(Horreur)
Malheur à ceux qui ne m’aiment pas
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, mon cœur est en fer
(Horreur)
Je fais l’amour comme une panthère
Mes amants, je les écorche vifs
Et je les fouette, je leur coupe le pif
J’fais des trucs cochons avec des chaînes
Aux minets du 16ème
Pourchassant les puceaux en fuite
Le démon du sexe m’habite
Venez là mes petits amis
Car c’est la fête aujourd’hui…
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
(Horreur, malheur)
(Aaaah)
Oui, je suis la sorcière
(Horreur)
J’suis vieille, j’suis moche, j’suis une mégère
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, sur mon balai maudit
(Horreur)
J’aim’ bien faire mal aux tous petits
Je fais bouillir des mains de pendus
J’mange des crapauds, des rats tout poilus
J’fais des potions pour séduire les hommes
Puis j’les mords quand ils dorment
Dans ma marmite c’est l’épouvante
Y a des bestioles dégoulinantes
Ce soir j’fais du bœuf au pipi
Car c’est la fête aujourd’hui…
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
C’est la, c’est la c’est la
Salsa du démon (x4)
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du démon (x4)
Le Grand Orchestre du Splendid: Macao
The Judgement of Prince Igor
After just a few bars, judgement was passed on Borodin’s Prince Igor…
Lovely to see you again, my friend…