Edgar Allan Poe
Lamartine Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;Je promène au hasard mes regards sur la plaine,Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes,Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur ;Là , le lac immobile étend ses eaux dormantesOù l’étoile du soir […]